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  La Palestine et le Hamas
 
  

La Palestine et le Hamas



 

   Le conflit israélo-palestinien désigne le conflit qui oppose, au Proche-Orient, la Palestine et l'État d'Israël. Débutant officiellement le 14 mai 1948, jour de la création de l'Etat hébreux, il prolonge le conflit qui opposait, depuis les évènements de Nabi Moussa de 1920, les communautés arabes et juives de la région de Palestine. Ce conflit, non résolu à ce jour, est à caractère principalement nationaliste, mais il inclut également une certaine dimension religieuse (entre les Israéliens, principalement de religion juive, et les Palestiniens, à majorité musulmane. La lutte se creuse car le Hamas créé en 1987, groupe terroriste palestinien, s’oppose au Mossad.

  Les principaux points litigieux sont  l'objectif d'une reconnaissance mutuelle des deux peuples, laquelle n'est à ce jour pas absolue. La Palestine demande en outre une partie de territoire Israélien qui leur fut dérobé lors de la création du territoire israélien. Ce que les musulmans souhaitent est ce que désire le Hamas : «  Une trêve ne nous pose aucun problème. C'est possible si Israël accepte l'évacuation des zones occupées depuis 1967, l'établissement d'un État palestinien sur Gaza et la Cisjordanie, avec Jérusalem comme capitale. »

L'objectif qu’est l’instauration d'un État Palestinien sur l’ancienne Palestine aux côtés d'Israël  posent énormément de problèmes du fait de  la contiguïté de leurs territoires (sécurité) et du tracé ultime des frontières (question du devenir des colonies israéliennes présentes dans les territoires palestinien occupés).
En outre, Jérusalem est revendiqué par les Musulmans, car il ne va pas sans savoir qu’elle fut une cité religieuse musulmane, et elle revendique également le contrôle des lieux saints d’Allah.

 A ces enjeux centraux s'ajoutent des problématiques parallèles telles que le partage de l'eau car Israël a le monopole des voies fluviales. Dès lors que des incidents se produisent, l’état juif bloque l’approvisionnement aux Palestiniens ce qui provoque évidemment de nouveaux heurts. De plus, le statut des réfugiés déplacés par le conflit est difficile à cerner car ils ne sont pas reconnus comme réfugiés de guerre fuyant les violences.

 

 

  C’est alors que le Mossad lutte contre le Hamas, groupe de résistance palestinien, car comme déclarait Jacques Chirac en juillet 2005 : « le Hamas est une organisation terroriste qui ne peut être un interlocuteur de la communauté internationale tant qu'il ne renonce pas à la violence et ne reconnaît pas le droit à l'existence d'Israël. ». En outre, le Hamas cite dans sa charte : « Le jour où les ennemis usurpent une terre qui appartient aux musulmans, le combat devient une obligation religieuse individuelle qui incombe à chaque musulman. » Par ailleurs, Mohammed al-Dheif, un des hauts responsables du Hamas dans la bande de Gaza, a déclaré que le Hamas combat uniquement les Juifs qui vivent en « Palestine » et qu'il ne s'en prend pas aux Juifs qui prient dans leurs synagogues en Grande-Bretagne ou aux États-Unis. Ces deux citations prouvent qu’ils luttent bien pour une terre, mais une terre qui ne leur appartient plus.
Le Mossad a en conséquence un  rôle important  à jouer dans cette histoire. En effet, il perpétue des crimes ou réalise des opérations visant à mettre des bâtons dans les roues palestiniennes car il est opposé au Hamas voulant l’anéantissement d’Israël. D’ailleurs le mot Hamas apparaît pour la première fois en 1987 dans un document accusant les services secrets israélien. Il évolue vers un mouvement politique radical et organise des actions armées et violentes.
Cependant depuis le début des années 1990 le Hamas est largement financé par l’Iran. C’est une des raisons pour lesquelles les USA et Israël luttent main dans la main contre le pays iranien.
Pour le Hamas, le chef du Mossad est l’ennemi numéro 1 à abattre car ce dernier n’hésite pas à utiliser des moyens radicaux pour empêcher des attentas en Israël. C’est d’autant plus vrai qu’ainsi, le dernier attentat perpétré par le Hamas date de janvier 2005.Ils n’avaient jamais cessés depuis 1993 puisqu’il devient difficile pour eux de franchir les frontières..  En fait, les premières actions armées du Hamas commencent avec le début de la première intifada. Elles s'attaquent en premier lieu aux Palestiniens mis en cause, puis en vient à attaquer les militaires israéliens. Suivront des attaques contre les civils israéliens car ils tirent désormais des roquettes depuis la bande de Gaza ou de sites post-frontaliers atteignant et tuant donc des civils innocents.  En contrepartie, le Kidon réplique en tuant le chef  historique du mouvement, Ahmed Yassine est lors d'une attaque ciblée de l'armée israélienne le 22 mars 2004 sur ordre d'Ariel Sharon alors premier ministre. Son successeur au poste du parti palestinien Abdel Aziz al-Rantissi  est également assassiné quelques jours après sa désignation. Le changement de direction à la tête du Hamas entraîne un changement de stratégie du mouvement qui commence à s'impliquer davantage dans la vie politique. Le Mossad a réussi à perturber le système de fonctionnement du Hamas mais pas dans le sens duquel il s’attendait.
Or, depuis le 1er semestre 2005, le Hamas a proclamé un cessez-le-feu plus ou moins respecté jusqu'au 20 décembre 2008 où ce parti déclare qu'il n'est plus en vigueur. De plus, on note que si Israël n'est toujours pas accepté en 2006, le Hamas propose depuis plusieurs années une « trêve de très longue durée » (non définie) à Israël, en échange d’un retrait des territoires palestiniens occupés après la guerre de 1967.Concernant ces négociations avec Israël, les déclarations des dirigeants sont contradictoires (début 2006) : certains ne l’excluent pas totalement, certains sont pour la préservation de l’état hébreux ou du moins dans une moindre proportion. En effet, le Hamas s'engage aussi dans les domaines civils et politiques. Il a gagné 74 des 132 sièges au parlement palestinien issu des législatives de janvier 2006.
Cette victoire du Hamas a été possible dans la mesure où ses dirigeants ne sont pas soupçonnés de corruption mais aussi à cause de ses actions sociales et caritatives sur le terrain, qu'il dirige en particulier vers les enfants et les pauvre.Ce regain de popularité leur permet de diffuser leur idéologie au sein de leur nation. D’autres membres se lient à eux causant un accroissement de leur organisation. Le Mossad essaie tant bien que mal à ralentir leur progression. Le groupe spécialisé dans la communication, via internet, présente de plus en plus le Hamas comme des terroristes mais aussi comme des corrompus en détournant pour eux des sommes colossales.
Alors qu'une trêve entre le Hamas et Israël a été décrétée le 16 juin 2008 pour une durée de six mois reconductible, plusieurs confrontations entre les deux camps sont venues mettre à mal cet accord.

 

    Ce conflit n’est pas prêt de se terminer prochainement car les négociations de paix échouent trop souvent. Les soubresauts sont récurrents et les deux camps bafouent chacun leur tour les traités de paix. Le Mossad a cependant un rôle extrêmement important en déstabilisant sans cesse le Hamas. Il ralentit sa progression politique au sein de la Palestine et a contribué à la diminution d’attentats et des tirs de roquette. Il a en conséquence un rôle de défense préservant des vies humaines juives. Mais tant que le Hamas ne sera pas destituer, des menaces planeront sur le sol israélien. C’est pourquoi le gouvernement israélien se doit d’aider le Mossad en pour-parlant avec les autorités palestiniennes et particulièrement avec Mahmoud Abbas, le président. En tout cas, le Mossad est à l’affut de n’importe quelle supercherie et erreur du Hamas sur leur façon de mener le pays.
 
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